dimanche 10 mai 2015

Terre mère

Je partais pour mettre cette photo sur ma page facebook,  https://www.facebook.com/ManonSabrina et je me suis ravisée.

Car je trouve tellement important ces écrits.  Des fois je me demande si on n'a pas oublié ceci.  Que nous sommes seulement de passage sur cette planète.  Étant de descendance amérindienne c'est quelque chose qui m'a toujours surprise chez le peuple en général, la possession des TERRES.  Quelque chose!  

Qu'en fessons-nous?  
Comment nous utilisons ces ressources et est-ce tous nécessaire pour notre vie?
Pourquoi construire d'immenses demeures pour une famille de 2, 4 ou 6?  Et 6 c'est plutôt rare de nos jours.
Le pétrole, le bois, l'eau et toute ressource ne se refont pas en un claquement de doigt.  À quoi nous pensons.
ETC.....

Vous savez je ne suis pas différente de la plupart des gens.  

Cet hiver je suis allée passer 4 mois au Mexique et je vais vous avouer de manquer d'eau m'a fait voir son importance et de sa précieuse nécessiter.  Ce qui m'emmène à être plus vigilante. Tout est tellement naturelle ici qu'on ne s'imagine même pas que ça pourrait nous arriver ce genre de chose. 

Je ne sais pas si vous vous posez des questions à qu'est-ce qui arriverait si: nous manquions d'eau, d'électricité, nourriture, etc....Moi c'est des choses que je pense quand je m'apprête à louer un appartement qui est alimenté seulement d'électricité.  De ne pas devenir parano, mais de voir que nous sommes rendus tellement indépendant du système.

Dans le fond c'est de revenir à l'essentiel et de voir que nous avons bien des choses qui ne sont pas nécessaires. De faire du ménage et de donner au suivant.  Je suis depuis plusieurs années malgré moi dans ce cycle de simplicité volontaire qu'on appelle et je vais vous avouer que même si j'aurais plusieurs millions ça ne changerait pas grand-chose à ma façon d'acheter et de consommer.   Car la vie m'a démontré que j'avais toujours tout ce dont que j'avais besoin dans l'immédiat.

Avec tout mon amour, honorons notre terre mère et respectons et aimons là comme nous le fessons pour nous-même.


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