Je viens de parler avec une amie, une soeur d'âme et ce qu'elle vit n'est pas de tout repos (pour le peu qu'elle m'a partagé). Et je lui partageais ma propre expérience et ce que ça m'avait dit dans mon intérieur quand je regardais en arrière et que je me posais la question mais qu'est-ce que j'ai vécu durant toute ses années? Qu'est-ce qui s'est passé avec moi? (je dirais sur une période de 10 ans) Et ça été: "La nuit noire de l'âme". Ouais! Effectivement avec du recul ça pourrait se dire ainsi.
Quand nous sommes dans ce processus, nous nous sentons bien seule. Nous nous sentons même abandonné de Dieu, de nos guides, de notre âme, même. Personne ne peux comprendre ce qui se passe, même les personnes les plus proches. Tout nos repères tombent, nous devons nous éloigner, prendre du recul, voir ce qui nous habite. Et à vrai dire pour ma part (et probablement pour bien d'autre aussi), ce ne fut pas rose au contraire. Car pendant cette transformation nous rencontrons notre ombre, notre partie de nous mal aimé, ignoré, rejeté, bafoué, tue, etc.
Et plus nous avons un idéal élevé, plus la route est longue pour se rencontrer. Il n'a pas de secret, nous devons faire le chemin, la route est bien mal éclairé par moment avec des obstacles de toute sorte, mais une chose qui est importante et selon moi primordial, la FOI, l'ESPOIR, l'AMOUR. Pour moi ce fut mes clés qui m'ont aidé à traverser les méandres de l'oublie. L'oublie de moi, de ma lumière, de mon amour qui m'habite, de la vie sous toute ses formes, dans mes moindres cellules.
La vie, ma vie je l'avais rejeté, mais une partie de moi plus forte voulait vivre, voulait voir et expérimenter la beauté, la joie, l'amour, le bonheur. Une force au-delà de tout entendement, LA VIE elle même, DIEU dans le fond, car c'est dieu qui a crée la vie.
Je rend grâce à chaque jour et ce depuis le tout début de mon processus. Selon ma propre expérience il n'a rien de désespérer et je sais que la plupart diront: Tu ne sais pas ce que je vis? Effectivement! Et moi de dire: Et est-ce que tu connais mon histoire?
Nous croyons tous que nos histoires sont pire que les autres (et nous nous apitoyons sur notre sort) , mais si nous savions tout ce que chacun à pu traverser, on s'apercevrait que nous avons tous nos propres chemins, avec ce que nous sommes capable de rencontrer, ni plus, ni moins. Sachez peu importe ce que vous vivez en cet instant que vous êtes infiniment aimé et qu'il a toujours une lumière au bout du tunnel.
Avec tout mon amour, je souhaite pour chacun cette reconnaissance de la puissance de DIEU dans nos vies, car c'est à travers lui que nous pouvons exister.
Quand nous sommes dans ce processus, nous nous sentons bien seule. Nous nous sentons même abandonné de Dieu, de nos guides, de notre âme, même. Personne ne peux comprendre ce qui se passe, même les personnes les plus proches. Tout nos repères tombent, nous devons nous éloigner, prendre du recul, voir ce qui nous habite. Et à vrai dire pour ma part (et probablement pour bien d'autre aussi), ce ne fut pas rose au contraire. Car pendant cette transformation nous rencontrons notre ombre, notre partie de nous mal aimé, ignoré, rejeté, bafoué, tue, etc.
Et plus nous avons un idéal élevé, plus la route est longue pour se rencontrer. Il n'a pas de secret, nous devons faire le chemin, la route est bien mal éclairé par moment avec des obstacles de toute sorte, mais une chose qui est importante et selon moi primordial, la FOI, l'ESPOIR, l'AMOUR. Pour moi ce fut mes clés qui m'ont aidé à traverser les méandres de l'oublie. L'oublie de moi, de ma lumière, de mon amour qui m'habite, de la vie sous toute ses formes, dans mes moindres cellules.
La vie, ma vie je l'avais rejeté, mais une partie de moi plus forte voulait vivre, voulait voir et expérimenter la beauté, la joie, l'amour, le bonheur. Une force au-delà de tout entendement, LA VIE elle même, DIEU dans le fond, car c'est dieu qui a crée la vie.
Je rend grâce à chaque jour et ce depuis le tout début de mon processus. Selon ma propre expérience il n'a rien de désespérer et je sais que la plupart diront: Tu ne sais pas ce que je vis? Effectivement! Et moi de dire: Et est-ce que tu connais mon histoire?
Nous croyons tous que nos histoires sont pire que les autres (et nous nous apitoyons sur notre sort) , mais si nous savions tout ce que chacun à pu traverser, on s'apercevrait que nous avons tous nos propres chemins, avec ce que nous sommes capable de rencontrer, ni plus, ni moins. Sachez peu importe ce que vous vivez en cet instant que vous êtes infiniment aimé et qu'il a toujours une lumière au bout du tunnel.
Si bien sûre nous la voulons.
Avec tout mon amour, je souhaite pour chacun cette reconnaissance de la puissance de DIEU dans nos vies, car c'est à travers lui que nous pouvons exister.